La science c’est leur affaire !
Les femmes n’ont pas toujours eu la reconnaissance qu’elles méritent dans le domaine scientifique. Physique, mathématiques, biologie, médecine… nombreuses sont les disciplines où elles excellent.
A l’occasion de la Fête de la science du 8 au 16 oct. 2016, à lire l’entretien avec Sylvaine Turck-Chièze, présidente de l’association Femmes et Sciences. via @LaCroix
Chaque année, La Tribune Womens’ Awards décerne le prix « science et recherche ». Redécouvrez les lauréates Vanessa Villard en 2015 et Cécile Zinzindohoué en 2016. via @ObjectifLR
Vanessa Villard, dirigeante d’Amylgen, promeut la technologie « haut débit in vivo » qu’elle a mise au point à partir de ses recherches en neurosciences : criblage in vivo de molécules à propriétés neuroprotectrices visant notamment la maladie d’Alzheimer et le vieillissement du cerveau.
En 2013, elle recevait déjà le prix national de la jeune entrepreneure : retrouvez-là en vidéo.
Chirurgienne spécialisée dans la chirurgie des cancers du sein et reconstruction mammaire, Cécile Zinzindohoué est présidente de Montpellier Institut du Sein, qui développe un modèle d’organisation, des services et des outils innovants pour offrir aux femmes atteintes d’un cancer du sein un accompagnement médico psycho social global et faciliter leurs parcours de soins.
Retrouvez-là aussi en vidéo (14 mn)
Voici venu le temps des prix Nobels… Pour le moment, en 2016 ce n’est pas très brillant. Retour en arrière. via @Inafr_officiel
Depuis 1901, 17 femmes ont reçu un prix Nobel scientifique.17 lauréates pour 609 prix Nobel scientifiques. pic.twitter.com/NCL6O9ktk2
— Ina.fr (@Inafr_officiel) October 3, 2016
Le filles, soyez inspirées ! Toujours pour la bonne cause relisez « 18 Inventions By Women That Changed The World » via @BuzzFeed
Car heater
Monopoly
Fire escape
Life raft
Residential solar heating
Medical Syringe
Modern electric refrigerator
Computer algorithm
… A lire ici
Et pour finir notre revue du web, un article @EchosStart partagé par l’association @ellesbougent
« Trois jeunes sociologues viennent d’apporter une réponse éclairante. A partir d’une enquête sur les classes préparatoires scientifiques françaises, Marianne Blanchard, de l’université de Toulouse 2/ESPE Midi-Pyrénées, Sophie Orange de l’université de Nantes et Arnaud Pierrel de l’université de Poitiers montrent que la différence entre filles et garçons sur les sciences se construit au fil des ans, à l’école, dans le foyer familial et aussi entre camarades de classe. “Le sexe des savoirs est un fait social”. (Lire la suite)